En Corée, le Hyundai Nexo coûte plus de 50'000 euros
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Les vétérans britanniques ont rempli vendredi l’Olympia lors de l’étape parisienne fêtant leur demi-siècle d’existence.
Yes ne sort plus qu’au compte-gouttes de nouveaux albums (le dernier, « Heaven & Earth », remonte � 2014), mais le groupe de rock progressif, malgré une moyenne d’âge élevée, continue � tourner très régulièrement. La date parisienne � l’Olympia, vendredi dernier, conclut ainsi le segment européen du « Yes at 50 Tour », célébrant le demi-siècle de carrière de la formation. Un argument légèrement fallacieux, dans la mesure où aucun membre actuel n’étant l� au début, en 1968, le vétéran et patron actuel, le guitariste Steve Howe, bientôt 71 ans, n’étant arrivé qu’en 1970…
Le Yes actuel se compose d’ailleurs, outre Howe, du claviériste Geoff Downes, du bassiste Billy Sherwood, du chanteur Jon Davison, et du batteur Alan White, autre figure présente depuis un moment (1972). Sauf qu’il n’est justement pas derrière son instrument lorsque le concert commence, remplacé par Jay Schellen (ex-Asia ou Hurricane). White, � la santé fragile, n’apparaîtra qu’en fin de spectacle.
L’autre argument vendeur de cette tournée anniversaire, c’est que le groupe joue plusieurs extraits de son double album de 1973, « Tales From Topographic Oceans », opus difficile d’accès aux quatre longs morceaux. Mais ça, ce sera pour la deuxième partie de la soirée, la première se consacrant aux classiques du début des années 70.
Trois écrans géants